24 décembre 2005

Os court : les louves

On en a mis du temps pour aller voir la pièce de François Fehner, mais une terrible léthargie s'est emparée de nous en ce début de vacances. On n'est même pas allé voir le misanthrope, c'est dire...
Cet aprem, c'était la dernière chance de voir "Os court ; les louves", alors on s'est fait violence. Le texte, écrit pour partie à l'aide d'un matériau provenant d'ateliers d'écriture pendant lesquels François Fehner a recueilli la parole de femmes de tous âges, était intéressant, même sa mise en espace pâtissait d'un décor fait trop visiblement avec des bouts de carton. Trois générations de femmes face au temps qui passe et au rapport à la mort. Un peu raide pour des enfants (auxquels ce spectacle est sensé s'adresser), mais François m'a dit qu'il avait un retour bien plus favorable des enfants que des adultes. On verra ça avec les nôtres ce printemps au moment de la reprise, en espérant que décor et direction d'acteur se seront affinés...